L’érotisme n’est pas toujours ce qu’on croit.
Tout en douceur, déshabiller son homme lentement…
Tu sens qu’il se réveille, enfin il est vite intéressé, surtout si tu lui dis qu’il doit s’abandonner et que tu lui montres ta guêpière, tes bas, en soulevant ta robe dans une progression sensuelle.
La suite n’est pas toujours lente avec quelques gestes appuyés, dirigistes : le bandeau sur les yeux, les mains attachées dans le dos, nu comme un ver, mais toujours avec la cravate…
Puis, des ordres : « à quatre pattes face au mur », « le front au sol »… Pas facile, mais on joue ! La confiance est là, comme son organe bien ferme.
Enfin des actes : un gode vibrant bien placé et bloqué avec une corde qui serre un peu son cou, un élastique pour les joyeuses et bloqué au bas de cette belle tige… Erotique un homme qui ose s’abandonner. On peut alterner douceur et fermeté. Il aime les deux, ses mouvements, ses soupirs me poussent vers plus de fermeté. Je surfe sur ses désirs inavoués, c’est lui qui me dirige finalement : plus vif, plus fort, plus gros, plus de contraintes.
Parfois je craque devant ce beau spécimen excité, j’en profite, je valse dessus à mon rythme, selon mon désir. Il a intérêt à gérer son excitation, sinon je pourrais bien le punir en le laisser dans des positions inconfortables, le temps que je prenne un long bain ou que je sorte me balader.
(Ce sont juste des mots puisqu’on ne laisse jamais seul-e attaché-e ou dans une posture qui pourrait paralyser un membre)